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    Photographe amateur originaire de l'Avesnois, le jardin du Nord, actuellement dans le sud de la France, entre Cévennes et Provence.

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Terril Sabatier – Raismes

Posté par Melvin le 6 janvier 2024

La Forêt Domaniale de Raismes-Saint-Amand-Wallers (4 600 ha), dans le Parc Naturel Régional Scarpe-Escaut.

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Au pied du Terril Sabatier, l’étang des Trois Mortiers, formé par les affaissements miniers…

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Vestige de la Fosse Sabatier, le chevalement du puits n°2, au pied du Terril Sabatier. La fosse Sabatier de la Compagnie des mines d’Anzin a commencé à extraire en 1913 jusqu’en 1980.

Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis le 18 mars 2010 et fait partie des 353 éléments répartis sur 109 sites qui ont été classés le 30 juin 2012 au patrimoine mondial de l’UNESCO.

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La Fosse Sabatier comporte 3 terrils faisant parties des 353 éléments répartis sur 109 sites qui ont été classés le 30 juin 2012 au patrimoine mondial de l’Unesco. Ils constituent une partie du site n°8.

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Le Terril n°175, Sabatier Nord est un terril conique haut de 80 mètres entièrement boisé. Il offre un panorama à 360° sur le Valenciennois jusqu’à la Belgique.

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Le Mont Saint Aubert et le Tournaisis (Belgique)

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Le Terril du lavoir Rousseau et la ville de Condé-sur-l’Escaut avec son beffroi

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La Chaine des terrils… vue sur les terrils jumeaux de Loos-en-Gohelle, les plus hauts d’Europe.

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Saint-Amand-les-Eaux et la Forêt Domaniale de Raismes-Saint-Amand-Wallers

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Fossile datant du carbonifère (– 359 à – 299 millions d’années)

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Le Terril n°175A, Sabatier Nord plat

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Raismes (Nord – Hauts-de-France)

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Guise – Aisne

Posté par Melvin le 18 mars 2023

Guise, la capitale de la Thiérache, du château fort des Ducs de Guise au Familistère de l’industriel Jean-Baptiste André Godin, en passant par la cité médiévale.

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Portail du XVIIème siècle, de l’ancien bailliage ducal de Guise, dit hôtel de Condé, datant des XVI, XII et XIIIèmes siècles.

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La Cité Médiévale

La rue Chanteraine, au bas de la rue de la Citadelle

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La rue de la Citadelle, montant au château-fort des Ducs de Guise.

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L’église Saint-Pierre et Saint-Paul, datant du XVIème siècle et inscrite aux monuments historiques.

« L’église paroissiale Saint-Pierre et Saint-Paul a été presque totalement reconstruite au milieu du 16e siècle (la date de 1535 est gravée sur une clef de voûte). Des travaux historiques du 19e siècle signalent qu’un portail de l’église (restauré depuis), était daté de 1550. Les armoiries de membres de la famille de Lorraine, sculptées sur les clefs de voûte du chœur, permettent de placer la fin des travaux dans le 3e quart du 16e siècle. Héritière du comté (puis duché) de Guise, au début du 16e siècle, la famille de Lorraine a sans doute commandité ou contribué au financement de cette reconstruction. Après les guerres et les sièges du 17e siècle, l’église a été restaurée, comme en témoignent les parties de maçonnerie en brique. A la Révolution, l’édifice est vidé de son mobilier et endommagé. Puis il est rendu au culte et réparé au début du 19e siècle. Une vaste restauration est entreprise dans la décennie 1840 (d’après des sources et des clefs de voûte datées de 1849 et 1850). Elle se termine par la reconstruction du portail nord, daté de 1853 et signé du sculpteur Lecompte-Roger, de Liesse. Très endommagée par la guerre de 1914-1918, l’église a été restaurée vers 1931 (date gravée sous un blason et sur un pilier), augmentée de l’actuelle sacristie, puis consacrée le 11 novembre 1933. » Base Mérimée

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Vitrail de la crucifixion, de style art déco (XXème siècle), du peintre-verrier parisien Raphaël Lardeur.

« La majeure partie de la scène est occupée par le Christ en croix, vu de face, entre les deux larrons, saint Jean et la Vierge, la Madeleine agenouillée au pied de la croix, et plusieurs femmes. La lancette gauche est consacrée aux soldats romains. Au premier plan, deux soldats agenouillés jouent aux dés. Deux autres, debout, tiennent, l’un, une lance, et l’autre, la lance avec l’éponge. Un cœur rayonnant est représenté au centre du tympan, symbole de l’Amour de Dieu pour les Hommes. » Base Palissy

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Vitrail du Christ rencontrant sa mère, de style art déco (XXème siècle), du peintre-verrier parisien Raphaël Lardeur.

« Le centre de la scène est occupé par la rencontre de la Vierge et du Christ couronné d’épines, tous deux de profil, qui s’étreignent les mains. La croix, appuyée sur l’épaule du Christ, est soutenue à l’extrémité par Simon de Cyrène. Deux soldats romains, armés d’une lance observent la scène qui se déroule en présence d’une foule d’hommes et de femmes de tous âges. Au premier plan, un jeune homme dans une attitude agressive, s’apprête à lancer des pierres qu’il tient à la main. Les jours de réseau sont occupés par des chérubins, des colonnes et des clous. » Base Palissy

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Vitrail de la Pentecôte, de style art déco (XXème siècle), du peintre-verrier parisien Raphaël Lardeur.

« A la représentation traditionnelle de la Pentecôte, dominée par la colombe du Saint-Esprit, s’ajoute celle d’une croix et d’un coeur (le sacré-Coeur de Jésus) d’où partent des rayons lumineux. Le tympan est orné d’un décor géométrique et de guirlandes florales. » Base Palissy

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Vitrail de la Nativité, de style art déco (XXème siècle), du peintre-verrier parisien Raphaël Lardeur.

« Au premier plan, sont représentés saint Joseph, debout, et la Vierge, agenouillée près de l’Enfant. La crèche est évoquée par l’âne, dont on ne voit que la tête. Au centre et sur la droite, sont regroupés les bergers en prière, suivis des Mages et de leur escorte. Le fond de la scène est occupé par les dromadaires, et par des anges en adoration. Des chérubins et l’étoile meublent les jours de réseau. » Base Palissy

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Vitrail de Jeanne d’Arc au sacre de Charles VII, de style art déco (XXème siècle), du peintre-verrier parisien Raphaël Lardeur.

« Au premier rang d’un groupe d’évêques portant une crosse et de soldats munis de lances et d’étendards, Jeanne d’Arc assiste au sacre, tenant son étendard, l’autre main appuyée sur l’épée. L’évêque, debout, avance la couronne au-dessus de la tête du roi, agenouillé, la main de justice dans sa main gauche. D’autres soldats, représentés de dos, et des enfants de chœur, portant des cierges allumés et une croix de procession, complètent la scène. Des lys, allusion aux armoiries accordées à la famille d’Arc, ornent les jours de réseau. » Base Palissy

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Vitrail de la Vierge de Miséricorde, de style art déco (XXème siècle), du peintre-verrier parisien Raphaël Lardeur.

« La majeure partie de la verrière est occupée par une Vierge debout sur un nuage, entourée de rayons lumineux et d’une couronne de chérubins. De ses bras ouverts, tombent des fleurs, symbole vraisemblable des grâces qu’elle répand sur les humains. La partie inférieure de la verrière est occupée par plusieurs hommes et femmes, représentés debout ou agenouillés (un est même allongé) à divers âges de la vie. Ils encadrent deux croix, signalant la présence de tombes. Il faut y voir une modernisation du thème médiéval de la Vierge de Miséricorde, et peut-être aussi une verrière commémorative de la Première Guerre mondiale, la Vierge étant alors représentée comme la protectrice et la consolatrice des survivants. » Base Palissy

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Le château fort

le Château fort de Guise, dont la construction remonte au Xème siècle, classé monument historique sur les hauteurs de la ville, dans la Vallée de l’Oise.
Plus d’informations : https://www.chateaudeguise.fr/

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« Château mentionné à la fin du 10e siècle, agrandi au 12e, forteresse royale en 1185. Le donjon est sans doute construit à cette époque. Travaux menés au 15e siècle. A partir de 1540, Claude de Lorraine, duc de Guise, modifie le château pour en faire l’une des citadelles les plus moderne avec la première adaptation en France du système bastionnaire. En 1641, confiscation du château à Henri II de Lorraine. Le château devient forteresse royale sur laquelle Vauban ordonne des travaux menés par l’ingénieur Rivière (remaniement des ouvrages défensifs ; dégagement des entrées ; remblayage intérieur). En 1767, le donjon est restitué à Louis-Joseph de Bourbon, prince de Condé. En 1914 et 1917, le fort est détruit ; seuls subsistent le donjon et l’enceinte. Restauration du château après la Seconde guerre mondiale. » Source : Base Mérimée

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L’Arsenal
« Cet édifice, construit au XVIe siècle, mesure 60 mètres de long pour 10 de large. Il comptait pas moins de 7 niveaux. Il a servi à de multiples usages : stockage des grains, casernement de soldats, celliers, arsenal… Aujourd’hui largement rabaissées, les maçonneries laissent cependant encore deviner l’impressionnante taille du bâtiment. Le cellier voûté en briques est accessible lors de la visite. »

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Le donjon

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Le Bastion de la Charbonnière

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« Ce bastion englobe des maçonneries médiévales sur lesquelles il est lui-aussi en partie appuyé. Construit au XVIe siècle, en brique, il contient une grande casemate d’artillerie qui pouvait contenir deux canons et desservait par un couloir une petite casemate de tir installée au pied des remparts, à laquelle on accédait par un escalier vertigineux »

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La Collégiale Saint-Gervais Saint-Protais

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« L’église du Château fut une chapelle avant d’être progressivement agrandie à mesure que le site prenait de l’importance. Détruite au XIXe siècle, l’église a cependant bénéficié de fouilles de sauvetage par les jeunes bénévoles du Club du Vieux Manoir, dans les années 1960, ce qui fit à l’époque prendre conscience de l’immense intérêt patrimonial du Château et permis à l’association de recevoir le premier prix « Chefs-d’œuvre en péril » des mains d’André Malraux. »

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Vue sur la ville de Guise

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et le Familistère

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La grosse tour, dite “donjon”

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« La grosse tour constitue un espace central au sein du Château Fort. Toujours debout, elle compte trois niveaux tous alimentés par un puits et reliés par deux escaliers. Elle occupait à l’origine une fonction défensive mais également résidentielle en temps de siège, avant que le Château ne devienne une véritable forteresse militaire. Plusieurs fois adaptée à l’évolution des armes et en particulier à l’artillerie, elle est aujourd’hui dominée par des créneaux du haut desquels on tirait au canon. »

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Le Bastion de l’Alouette

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« Il contient pour sa part deux casemates d’artillerie reliées par un couloir d’accès, la première de ces casemates ayant été aménagée pour accueillir le musée historique et archéologique du Château Fort. 1000 ans d’histoire y sont présentés, à travers les objets des collections archéologiques provenant directement du site. »

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Le Familistère de Godin

Le familistère de Guise, voulu par l’industriel Jean-Baptiste André Godin pour l’hébergement de ses ouvriers, haut lieu de l’histoire économique et sociale des XIXe et XXe siècles. Le familistère est classé monument historique depuis 1991. Son musée est classé Musée de France : https://www.familistere.com/fr

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Le kiosque à musique du jardin du Familistère, construit en 1918, restauré en 2006 et inscrit monuments historiques depuis 1991.

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Les jardins contemporains du Familistère, projet de l’Agence de paysage BASE.

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« Situé sur une ancienne île de 9 ha conduite en peupleraie, le jardin est régulièrement inondé par les crues violentes de l’Oise.
30 000 m3 de terrassements ont été nécessaires pour remblayer un bras mort de l’Oise et adoucir le profil de l’ensemble des berges, pour offrir une promenade au bord de l’eau. Le jardin est découpé en 400 parcelles triangulaires de 100 à 700 m2 chacune, et traitées suivant 4 matières : taillis, buissons, prairies, pelouses.
La population a participé aux plantations dans le jardin par un système de parrainage de plantes.
Un couloir de lagunage/filtration par les plantes de 6000 m2 épure l’eau prélevée dans l’Oise et vient alimenter un bassin extérieur, composé de galets et de petites surfaces de béton blanc. Des pontons bois permettent de naviguer dans le jardin à pied secs en toute saison. Le confort en milieu extérieur vient rendre hommage au palais social de l’industriel controversé, charismatique et éclairé Jean-Baptiste Godin (1817-1888). » https://www.baseland.fr/projets/familistere-de-guise-jardin/

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L’Oise

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Guise (Aisne – Hauts-de-France)

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Wallers-en-Fagne – Nord

Posté par Melvin le 4 octobre 2022

Wallers-en-Fagne, écovillage de la pierre bleue, au cœur de la Petite Suisse du Nord

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L’ancienne forge

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La Chapelle aux tilleuls, en brique rouge et pierre bleue, porte la date de 1613.

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L’église Saint-Hilaire construite en 1688. Certaines parties datent de l’ancien monastère de Saint-Dodon (IXème siècle).

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« Le domaine de Wallers avec une portion de la fagne fut donné par un roi Mérovingien à une abbaye à Poitiers, consacrée à Saint Hilaire. D’où le vocable de l’Eglise. Cet édifice bâti sur l’ancienne abbaye est entièrement en pierre bleue du pays. Elle paraît être de 1688 comme l’indique la pierre située au-dessus du porche. Cette date correspondrait à la période d’agrandissement: la maçonnerie est différente dans la partie supérieure du clocher, on distingue les arcades ogivales d’une église plus ancienne.

La tour carrée aux allures fortifiées est munie d’abats son. Cette tour clocher se caractérise par une abondance de fers d’ancrages. L’Eglise est encore entourée d’un ancien cimetière, subsistent néanmoins quelques stèles funéraires très anciennes qui démontrent un véritable savoir-faire. Le tout est ceinturé par un mur en pierre bleue.

A l’intérieur, la nef est marquée par une harmonie qui réside entre le style roman et des éléments gothiques. On découvre au pied de la sacristie des autels avec retables dont celui de Saint Hilaire et de la sainte Vierge, des stalles en bois sculpté, une tribune et son escalier, des statues en chêne peintes et un Chemin de croix viennent compléter l’expression religieuse de cet édifice. » Source : https://wallers-en-fagne.oxatis.com/

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Gravure, type vitrail, sur une tranche de pierre bleue (2011) de Guy Harbonnier, tailleur de pierre du Centre Artisanal de la pierre bleue de Wallers.
Il représente les 4 couronnés, patrons des tailleurs de pierre.

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La route de Baives, en venant des Monts de Baives.

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Vallée de l’Helpe majeure

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Fontaine devant la mairie et l’église.

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Statuette devant l’église

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L’école

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L’ancien presbytère

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La chapelle Notre Dame de Liesse et Notre Dame de Walcourt, construite en 1777, avec la particularité d’avoir 2 niches disposées dos à dos. Elle est située sur les hauteurs du village, à 222m d’altitude.

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La grande carrière (CCM) de Wallers-en-Fagne, profonde de 110 m. Elle produit chaque année 2 millions de tonnes de pierre bleue.

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Le porche de l’ancienne brasserie Coupez

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L’oratoire Saint Jean Baptiste, datant de 1811, dans le Chemin du Moulin

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Pin et mur en pierre bleue de l’ancienne brasserie Coupez, dans le Chemin du Moulin

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Le Chemin du Gard et ses affleurements de pierre bleue

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Le moulin à eau datant du XVIIème siècle. La roue du moulin est actionnée par l’Helpe majeure. Elle comprend encore le tuyau d’alimentation, en fonte aciéré, et l’enrouleur de chaîne permettant d’incliner plus ou moins le tuyau pour régler la pression de l’eau sur la roue. Le moulin accueille aujourd’hui les bureaux de la carrière de Wallers.

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Le pont du moulin datant du XVIème siècle

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Depuis le belvédère panoramique de la grande carrière (CCM) de Wallers-en-Fagne, profonde de 110 m. Elle produit chaque année 2 millions de tonnes de pierre bleue.

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L’ancienne carrière aux techniques d’extractions manuelles de la pierre bleue, âgée de plus de 400 millions d’années.

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Vallée de l’Helpe majeure

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Wallers-en-Fagne (Nord – Hauts-de-France)

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Base 11/19 – Loos-En-Gohelle

Posté par Melvin le 20 juin 2021

La Base 11/19 de Loos-En-Gohelle, classée aux monuments historiques et classée au Patrimoine Mondial de l’UNESCO.
Mise en service le 1er juin 1894, la fosse 11-19 ferme le 31 janvier 1986. Les puits n°11 et 19, respectivement profonds de 852 et 815 mètres sont remblayés en 1987.

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Le chevalement du 11 (1920) et la tour d’extraction du puits n°19 (1960)

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« Tous les jours éd’bore matin
Dé l’voyette éd’sin gardin
I véyot tourner deux roulettes
Cha vivot ch’étot bien
Aujourd’hui cha n’marche plus
Ch’est muet comme eun’ statue
In va les fair’ disparaître
Les molettes »

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Les terrils jumeaux du 11/19 de Loos-en-Gohelle, les plus hauts d’Europe (188 m d’altitude), inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco

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« J’restos juste in face quand j’n'étos qu’un jonne
L’ravisos monter déchint’ el’crinquonne
Chés berlines s’croisottent toudis à l’même plache
Et tout l’journée faire leu remue-ménache »

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« Les trois terrils s’étendent sur 90 hectares et ont un volume de 24 000 000 m3. 205 espèces végétales, 82 espèces d’oiseaux, deux espèces de batraciens et reptiles, douze espèces de mammifères, neuf espèces de libellules et 53 espèces de papillons de jour et de nuit ont été recensés sur le site. »

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Vue sur la ville de Liévin, avec le chevalement du puits n° 1bis de la compagnie des mines de Liévin et le Mémorial Canadien de Vimy

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Loos-en-Gohelle (Pas-de-Calais – Hauts-de-France)

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La Mare à Goriaux – Fosse Arenberg

Posté par Melvin le 20 juin 2021

La fosse Arenberg et ses 3 chevalements, inscrite au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, lieu de tournage du film Germinal.

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« Siège d’extraction créé par la Compagnie des Mines d’Anzin à la fin du 19e siècle, après l’obtention des permis d’extraction donnés en 1876. Le puits n° 2 date d’avant 1914 et conserve des vestiges de sa machine d’extraction à tambour cylindrique. Le puits n° 1 conserve un chevalement datant de 1920, l’ancien bâtiment de la machine d’extraction portant les dates de 1900-1903. Le puits n° 3, foncé en 1954, conserve un chevalement à portique datant de 1961, le plus haut du bassin et le dernier réalisé. Ce chevalement enjambe le moulinage, le seul subsistant dans le département. Ce site, exploité jusqu’en 1989, conserve trois chevalements d’époques et de structures différentes et peut témoigner de l’évolution de l’extraction du charbon de la fin du 19e siècle jusqu’à l’époque de modernisation des années 1955 à 1960. Afin de rendre plus confortable le circuit du mineur au cours de sa descente dans la fosse, un nouveau bâtiment abritant les bains-douches et la lampisterie est édifié, prolongé par deux ailes formant la salle des pendus. Autre élément de confort, une passerelle métallique couverte relie le bâtiment directement au niveau du moulinage. Le poste électrique est un bâtiment rectangulaire à ossature en béton et parement d’une épaisseur de briques. La dynamitière, construite en béton, est située loin du site d’extraction et se compose de deux séries de constructions comprenant chacune les mêmes éléments : un petit édifice extérieur, un grand tumulus en terre et une petite galerie servant au stockage de la dynamite. Le site, ouvert à la visite, a servi en 1994 au tournage du film Germinal de Claude Berry. » Source : Base Mérimée

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Cités de la fosse Arenberg

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La Tranchée d’Arenberg, célèbre secteur pavé du Paris-Roubaix, appelé aussi Drève des Boules d’Hérin, chemin pavé de 2km400 traversant la Forêt de Raismes-Saint-Amand-Wallers.

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Le pont minier de la Fosse Arenberg au dessus de la Tranchée d’Arenberg

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La Mare à Goriaux, près de Valenciennes, site inscrit au Patrimoine Mondial de l’UNESCO et classé réserve biologique domaniale. La Mare à Goriaux (mare à cochon en patois) est un étang d’affaissement minier de 90 ha et de faible profondeur (1,3 mètres).

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« Situé au pied d’un terril dont le sol noir contraste avec les troncs blancs des bouleaux, cet immense plan d’eau de 90 hectares sert de repère à quelque 300 espèces d’oiseaux rares (grèbe huppé, balbuzard pêcheur, pluvier petit gravelot…). Importante réserve biologique domaniale depuis 1982, elle est protégée par l’Office National des Forêts.
Simple mare aux canards il y a un siècle, la mare à Goriaux est née d’un affaissement minier. Au fur et à mesure que les mineurs extrayaient le charbon, le sol s’est affaissé passant sous le niveau de la nappe phréatique. La mare s’est alors développée. Avant que le sol ne se tasse, de jeunes gorets (porcs), peuplaient les lieux qui étaient d’anciennes prairies. D’où l’appellation mare à « Goriaux ».
Un circuit pédestre de 6,5 km invite désormais à explorer une flore originale (herbiers aquatiques, roseau à balais, bouleau venu des forêts voisines…), tout en foulant les célèbres pavés de la trouée d’Arenberg, mythique passage de la course cycliste Paris-Roubaix dont le nordiste Jean Stablinski fut le premier coureur de l’histoire à l’emprunter en 1968.
A deux pas, un détour s’impose pour découvrir Arenberg Creative Mine – site minier de Wallers-Arenberg, lieu emblématique du Bassin minier Nord-Pas de Calais inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. »
Source : tourisme-porteduhainaut.com

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L’affaissement minier continu à La Mare à Goriaux…

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Fossiles sur le schiste du terril âgés de plus de 300 millions d’années (Westphalien). On aperçoit les feuilles d’une fougère arborescente, d’autres feuilles et du bois.

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Sur le terril n°171, site inscrit au Patrimoine Mondial de l’UNESCO et classé réserve biologique domaniale.

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Vue sur la Mare à Goriaux et la Forêt domaniale de Raismes-Saint-Amand (4 600 ha)

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Dans la Forêt de Raismes-Saint-Amand-Wallers (4 600 ha), au cœur du Parc Naturel Régional Scarpe-Escaut, première parc créé en France.

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Raismes/Wallers (Nord – Hauts-de-France)

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Le Manoir de Poix-du-Nord – Nord

Posté par Melvin le 8 septembre 2020

Le Manoir de Poix à Poix-du-Nord, un petit palais qui était une ancienne propriété de la Famille Williot, industriels de la chicorée installés à Poix-du-Nord. Un énorme travail de restauration a été fait en début d’année permettant de se plonger à l’époque de la Famille Williot. Une visite guidée passionnante vous permettra d’en savoir plus sur l’histoire de la chicorée dans la commune et sur les richesses de cette bâtisse.

Visites les vendredis, samedis et dimanches jusque fin septembre à 11h30, 14h30 et 16h30. Entrée 7€. Toutes les informations : https://manoirdepoix.com/

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Les chambres d’hôtes du Manoir

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Reconstitution des anciennes cuisines

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Poix-du-Nord (Nord – Hauts-de-France)

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