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    Photographe amateur originaire de l'Avesnois, le jardin du Nord, actuellement dans le sud de la France, entre Cévennes et Provence.

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Autun – Bourgogne

Posté par Melvin le 29 octobre 2024

Autun, cité du Morvan fondée par les Romains comme Augustodunum, sœur et émule de Rome.

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La Cathédrale Saint-Lazare d’Autun, bâtit entre 1120 et 1146.

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« Le cœur de la cité est devant vous, située sur le chemin de Compostelle débutant à Vézelay, Autun se dote en 1120 d’une église de pèlerinage placée sous le vocable de Saint-Lazare dont elle possède les reliques depuis le Xe siècle. Saint Lazare fut l’ami du Christ , le ressuscité. C’est l’évêque d’Autun, Gérard qui ramène les reliques du saint de l’abbaye Saint-Victor de Marseille. Deux siècles plus tard, la construction de l’église Saint-Lazare fait de cette dernière un efficace outil de communication. En effet, elle est dorénavant en lien avec la basilique de Vézelay, qui, elle, conserve les reliques de Marie-Madeleine, la sœur de Lazare.

Dès 1195, l’édifice devient co-cathédrale. Jusqu’au XVIIIe siècle, Autun aura une cathédrale d’été, de pâques à la Toussaint (Saint-Lazare) et une cathédrale d’hiver, de la Toussaint à Pâques (Saint-Nazaire). La construction de cet édifice s’achève en 1147, avec un objectif : attirer dans la cité éduenne les pèlerins de Compostelle et ainsi favoriser l’essor économique de la ville. Disposée sur un terrain cédé par le duc Hugues II, à proximité de la cathédrale Saint-Nazaire, l’église de pèlerinage prend la forme d’une croix latine. Le portail latéral fait alors face à l’entrée de la nef de Saint-Nazaire, créant ainsi un véritable parcours pour les pèlerins. C’est donc la nécessité d’accueillir ces pèlerins qui explique l’orientation inhabituelle de l’église Saint-Lazare. En effet son chœur est orienté au Sud et non pas à l’Est, vers Jérusalem, comme la plupart des églises en France.

En entrant par le portail latéral, les pèlerins faisaient une première étape à la chapelle Marie-Madeleine puis une deuxième au plus près des reliques de saint Lazare. Après une troisième étape à la chapelle sainte Marthe, ils ressortaient sous le tympan du Jugement dernier. Au XVe siècle, l’extérieur de la cathédrale est transformé avec l’ajout de chapelles entre les contreforts de l’édifice et la création d’une flèche gothique par Jean Rolin, culminant à 80 mètres. Le plan d’origine se compose d’une nef à sept travées entourées de collatéraux. La nef s’élève sur trois niveaux. » Source : bourgogne-tourisme.com

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Les remparts romains

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La Tour des Ursulines, donjon érigé au XIIe siècle.

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La porte Saint-André (ou Porte de Langres), une des quatre portes percées dans l’enceinte romaine d’Augustodunum (Autun), datant du Ier siècle.

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La pyramide de Couhard, monument funéraire romain constitué des restes d’une pyramide de base carrée qui faisait 10,50 m de côté et 22,65 m de hauteur. La pyramide se dressait dans une des grandes nécropoles de la cité romaine d’Augustodunum.

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Le hameau de Couhard, près de la pyramide de Couhard, et accès vers les Gorges de Brisecou.

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Le temple de Janus

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« Le Temple de Janus (temple d’origine gauloise), est le seul vestige en élévation d’un quartier culturel situé à l’extérieur de la ville.

Le Temple dit de Janus encore en élévation a été fouillé entre 2013 et 2018. Son origine a pu être précisée. Elle remonte à l’époque gauloise et au IIIe siècle av. J.-C. l’ancienneté de ce sanctuaire pourrait être l’une des raisons ayant présidé au choix du site topographique pour y implanter la nouvelle capitale des Eduens, à l’époque augustéenne. L’hypothèse d’un culte à « Janus » est fausse. Elle semble issue d’une mauvaise interprétation du toponyme, « Genetoye », qui renvoie plutôt aux genêts. D’autre part, une offrande découverte en fouille à l’emplacement du temple mentionne la divinité indigène « Ienieco », qui pourrait être l’un des dieux du sanctuaire. Pour l’instant ce dieu n’est attesté qu’à Autun.

Le théâtre et les thermes du sanctuaire ont été en partie dégagés. L’édifice de spectacle de la Genetoye mesure 116 m de diamètre, il est plus petit que le théâtre urbain mais ses dimensions restent tout de même suffisamment considérables pour en faire l’un des plus grands théâtres de Gaule.
Enfin, le quartier artisanal a bénéficié de 8 années de fouilles. Les productions sont tout d’abord tournées vers la métallurgie puis s’orientent vers la confection de vaisselle céramique au IIe siècle. Plus d’une centaine de fours de potiers sont recensés. Des ateliers de figurines ont été également découverts liés au célèbre coroplaste Pistillus. Ces productions sont destinées pour certaines à l’export, pour d’autres à la consommation au sein même du sanctuaire. » Source : autun-tourisme.com

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Le plan d’eau du Vallon, au pied de la cité d’Autun

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Autun (Saône-et-Loire – Bourgogne-Franche-Comté)

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Bibracte – Morvan

Posté par Melvin le 26 octobre 2024

On ressent une énergie particulière sur le Mont Beuvray (821 m d’altitude), au cœur du Morvan. Les gaulois y avait construit un oppidum, Bibracte, habité par 10 000 habitants et visité par Vercingétorix mais aussi par César. Le Mont est aujourd’hui classé Grand Site de France.

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Après un passage par le musée, et la montée en bus… visite du site archéologique !

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« Les Eduens, peuple gaulois, avaient établi leur capitale, Bibracte, sur le Mont-Beuvray (Morvan) dominant ainsi les passages entre tous les grands bassins fluviaux entourant la Bourgogne. Stratégique !

Abandonnée au profit d’Autun (Augustodunum), la ville tombe dans l’oubli. Un oubli dont elle sort peu à peu depuis le XIXe siècle grâce au travail de longue haleine des archéologues et scientifiques… Et quel travail ! Aujourd’hui on voit nettement se dessiner les rues, les quartiers, les maisons avec leur cave, les fontaines… qui s’étalaient sur près de 200 hectares !

Bibracte a vu passer des personnages hors du commun entre ses remparts. Vercingétorix, pour commencer. Il y fut proclamé chef de la coalition gauloise. César, également, qui s’y arrêta après sa victoire à Alésia. » Source : bourgogne-tourisme.com

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Glux-en-Glenne (Nièvre – Bourgogne-Franche-Comté)

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Nimes – Gard

Posté par Melvin le 22 juillet 2024

Les Arènes de Nîmes, amphithéâtre romain construit vers la fin du Ier siècle.
« Construit à la fin du ier siècle apr. J.-C., l’amphithéâtre mesure 133 mètres de long et 101 mètres de large. La façade, haute de 21 mètres, est composée de deux niveaux de 60 arcades chacun. À l’intérieur, près de 25 000 spectateurs pouvaient assister aux combats d’animaux et de gladiateurs. » Source : Wikipédia

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La fontaine Pradier, sur l’esplanade Charles-de-Gaulle
« La fontaine en marbre inaugurée en 1851 au centre de l’esplanade, la fontaine Pradier, est l’œuvre du sculpteur James Pradier et de l’architecte Charles Questel, auteur de l’église Saint-Paul. La figure féminine monumentale représente la ville de Nîmes (une des toutes premières représentations allégoriques de ce type en France) couronnée des arènes et des colonnades de la Maison Carrée, celles du palais de justice et de l’ancien théâtre. Elle est entourée de personnages symbolisant les cours d’eau importants pour la ville ; le Gardon, le Rhône, la fontaine d’Eure (source d’Uzès, point de départ de l’ancien aqueduc romain) et la fontaine de Nîmes. » Source : Wikipédia

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La Maison Carrée, temple romain construit en 3 et 5 apr. J.-C., qui dominait le forum de la ville antique.
« Dédiée, dans un second temps, à Caius et Lucius César, petits-fils et fils adoptifs de l’empereur Auguste, la Maison Carrée est dans un état de conservation tout à fait exceptionnel qui en fait le temple le plus « intact » du monde romain. La restauration de ses façades, initiée en 2006, a nécessité quatre années de travaux. La Maison Carrée est entourée d’un péristyle élevé sur un podium et marquée dans son architecture classique par une influence grecque (ordre corinthien). Le forum romain auquel elle appartenait autrefois était un important ensemble immobilier. » Source : Wikipédia

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Le square Antonin
« La statue monumentale dédiée à Antonin, érigée au centre du square en 1874, est l’œuvre du sculpteur Auguste Bosc. La grille extérieure en fer forgé est quant à elle l’œuvre de Marius Nicolas, serrurier nîmois. » Source : Wikipédia

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Les Quais de la Fontaine

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Les Jardins de la Fontaine
« Les jardins de la Fontaine, aménagés au milieu du xviiie siècle, constituent le principal jardin public de la ville et l’un des plus importants jardins d’Europe. Respectant en partie le plan du sanctuaire antique autour de la source fondatrice de la ville, Jacques Philippe Mareschal et Gabriel Dardailhon ont dessiné, sous l’influence de Le Nôtre, un jardin à la française où sont actuellement rassemblées de nombreuses espèces végétales méditerranéennes. Entre les xviiie et xixe siècles un petit théâtre romain, a été enfoui plusieurs fois sous les pelouses. Au xixe siècle, des influences anglaises et italiennes se sont manifestées dans l’aménagement du jardin, contribuant à l’esprit « romantique » du lieu. » Source : Wikipédia

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Le temple de Diane, dans les Jardins de la Fontaine, datant du IIe siècle apr. J.-C.
« Il se dresse dans la partie basse des jardins, à proximité de la source. Il était encore entier au milieu du xvie siècle, transformé en église. Les frères en furent chassés au moment des guerres de Religion et le bâtiment servit alors d’entrepôt à bois et foin. Mais, rapidement, un différend apparaît entre deux personnages sur l’attribution de la propriété du lieu qui est alors incendié. Sa voûte s’effondre, le mur sud est démoli, la façade principale est dépouillée de son ordonnancement de colonnes et de ses frontons étagés. Le temple de Diane constitue néanmoins le seul monument conservé en élévation de l’ensemble du sanctuaire romain dédié au culte impérial et aux loisirs autour de la source sacrée. Sa fonction d’origine reste incertaine, même si l’on penche vers un édifice à vocation culturelle, de type bibliothèque. D’une manière générale, ce monument a été assez peu étudié. » Source : Wikipédia

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La tour Magne domine Nîmes du haut de ses 32 mètres. Elle est le plus important vestige de l’enceinte romaine qui entourait Nîmes jadis. Le rempart n’existe plus, mais des ruines sont régulièrement découvertes lors des fouilles menées par les archéologues. Véritable tour de guet, la tour Magne permettait de repérer les envahisseurs au loin. Aujourd’hui, elle offre depuis son sommet une vue imprenable sur la capitale gardoise. Source : Wikipédia

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La porte d’Auguste (16-15 av. J.-C.), de l’antique enceinte augustéenne.
« Dite également « porte d’Arles », la porte d’Auguste est une des principales portes de l’époque romaine de la ville. Elle s’ouvrait sur la voie Domitienne et faisait partie des remparts. D’après certains érudits, une borne milliaire y fixait le point de départ de la voie Domitienne de Nîmes à Beaucaire. Elle fut redécouverte au moment de la démolition du château royal durant la période révolutionnaire et échappa de peu aux coups de pioches. Elle était flanquée à l’origine de deux puissantes tours. On notera, à cet effet, que la ville antique était entourée d’une muraille autant défensive que symbolique de la puissance de la cité. S’étendant sur plus de 6 km, ponctuée de nombreuses tours, sa partie la mieux conservée et la plus impressionnante s’étend du bas de la route de Sauve au sommet du Montaury. Par endroits, elle a conservé sa hauteur initiale ce qui en fait un monument exceptionnel ; le tronçon de rempart antique le mieux conservé en France selon le ministère de la Culture. » Source : Wikipédia

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Nîmes (Gard – Occitanie)

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Aqueduc romain de Barbegal

Posté par Melvin le 6 avril 2024

L’Aqueduc romain de Barbegal, partiellement classé Monument Historique en 1937, et inscrit au Patrimoine Mondial de l’Unesco en 1981.

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« Le site de Barbegal abrite les vestiges de deux ponts aqueducs romains et d’une meunerie antique. Installé dans la campagne d’Arles, cet ensemble alimentait la cité romaine en eau potable et sans doute aussi en farine.
Ce formidable réseau hydraulique fut complété au siècle suivant par une meunerie, permettant ainsi de nourrir la population. Aujourd’hui, il ne reste que des vestiges de l’aqueduc, ainsi que les fondations de la meunerie.
La meunerie a fonctionné jusqu’au IIIème siècle, produisant 4,5 tonnes de farine quotidiennement. Il n’en reste aujourd’hui que des vestiges. »

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Fontvieille (Bouches-du-Rhône – Provence-Alpes-Côte d’Azur)

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Grand – Vosges

Posté par Melvin le 20 octobre 2023

Au temps de l’Empire romain, Grand (Vosges) était une importante cité religieuse, peuplée à l’époque d’environ 20 000 habitants. Elle disposait d’un amphithéâtre de 17 000 places, d’une basilique avec une mosaïque restée sur son emplacement d’origine, une des plus étendues et coloriées d’Europe occidentale, et probablement d’un temple très important dédié au dieu Apollon, établi sur une source gauloise. Grand a reçu la visite de plusieurs empereurs romains, puis la cité est tombée dans l’oubli au cours du Moyen Âge. Sa situation à l’écart des routes commerciales, sur un plateau calcaire isolé, explique que sa population soit tombée à environ 400 habitants. Ses importants vestiges archéologiques font l’objet d’études dans le cadre du Site archéologique de Grand.

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L’Amphithéâtre romain de Grand, datant du Ier siècle, un des plus vaste du monde romain avec 17 000 places. En 1995, une couverture de gradins en bois a été installée dans un souci de préservation. Il est classé MH. Plus d’infos : https://grandlagalloromaine.vosges.fr/

« Long de 148 mètres au niveau du corridor central, cet amphithéâtre figure parmi les plus grands édifices de ce type dans l’Empire romain. Après une première phase de construction à la fin du Ier siècle, l’édifice a été rénové par la suite, comme en témoigne le grand appareil du corridor occidental. Implanté dans un vallon, l’amphithéâtre se distingue par son plan original : la partie sud est adossée à la pente naturelle, tandis qu’une façade monumentale se dressait au nord. » Source : grandlagalloromaine.vosges.fr

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La mosaïque de Grand, une des plus grandes d’Europe avec ses 232 m², dégagée en 1883. Elle est classée MH. Plus d’infos : https://grandlagalloromaine.vosges.fr/

« Cet édifice était vraisemblablement l’une des constructions les plus imposantes qui se dressait au centre de l’agglomération antique. Son plan à abside, très courant dans l’Antiquité, renvoie à des fonctions diverses : lieu de réunion pour l’administration locale (tribunal), temple ou encore salle de réception du siège d’une corporation (schola).
Des restes du rempart qui délimitait l’espace sacré sont encore visibles. La mosaïque est composée de petits cubes de calcaire et de pâte de verre, les tesselles. Elle repose sur plusieurs couches de mortier superposées, du plus grossier au plus fin : le statumen, le rudus et le nucleus.
D’une surface totale de 232 m², la mosaïque s’inscrit dans une salle à abside dont les murs sont particulièrement bien conservés. L’enduit de mortier rose qui est encore présent dans la partie basse des murs constituait le support des plaques de marbre qui complétaient le décor de cette salle.
 » Source : grandlagalloromaine.vosges.fr

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Grand (Vosges – Grand-Est)

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Vaison-la-Romaine – Vaucluse

Posté par Melvin le 1 mai 2023

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Le pont romain de Vaison-la-Romaine, construit au Ier siècle et est classé MH.

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La Cité Médiévale

Montée à la ville haute médiévale, passage par la Tour de l’Horloge, classée MH.

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L’ancienne cathédrale Sainte-Marie-de-l’Assomption, construite entre le XVème et le XVIIème siècle.

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Le château des comtes de Toulouse, bâti en 1195 par Raymond V, comte de Toulouse et marquis de Provence.

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La Cathédrale Notre-Dame-de-Nazareth

La cathédrale Notre-Dame-de-Nazareth, construite au XIIIème siècle et classée MH.

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Le Site antique de Puymin

La ville de Vaison-la-Romaine possède le site gallo-romain le plus étendu de France sur une quinzaine d’hectares.

« Sur la colline de Puymin était implanté un quartier de la ville antique où se trouvaient des maisons privées (la Maison à l’Apollon lauré, la Maison à la Tonnelle) appartenant à de riches familles comme le montre la découverte de fragments de décors, des mosaïques, des sculptures et une inscription. Les vestiges des boutiques et ateliers nous permettent de connaitre les différentes activités artisanales que réalisaient les habitants.
Des monuments publics comme le Théâtre et le Sanctuaire à portiques témoignent de la grandeur de la ville. » Source : provenceromaine.com

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Le musée archéologique

Le musée archéologique de Vaison-la-Romaine, au cœur du site antique de Puymin.

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Le site antique de la Villasse

« Le site antique de la Villasse constitue les vestiges de la place principale de l’ancienne ville romaine avec le Forum, la rue des boutiques et un ensemble thermal.
En arrière de cette animation urbaine bruyante, de grandes demeures tournées sur leurs cours intérieures, témoignent d’une qualité de vie et d’un luxe réservés aux populations aisées comme la Maison au Dauphin.
Un buste en argent d’un noble vaisonnais a notamment été retrouvé dans un des habitats et est conservé au Musée. » Source : provenceromaine.com

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La statue de l’empereur Claude, don de Léonard Gianadda , réplique d’une sculpture originale en bronze conservée au musée de Tripoli en Lybie, découverte sur le site antique de Leptis Magna en 1932. La statue montre l’empereur assis sur un trône, avec la couronne civique sur sa tête et portant un manteau dissimulant son épaule et son bras gauche, passant derrière son dos pour couvrir la section inférieure du corps et les jambes, laissant le côté gauche à nu. Claude tient, dans sa main droite, le globe terrestre surmonté d’un aigle et dans sa main gauche un éclair de foudre.

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Vaison-la-Romaine (Vaucluse – Provence-Alpes-Côte-d’Azur)

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