Tunnels romains – Sernhac

Les tunnels romains de Sernhac, vestiges de l’aqueduc romain entre Uzès (Fontaine d’Eure) et Nîmes dont l’ouvrage le plus célèbre est le Pont du Gard, situé à quelques kilomètres en amont. Ils ont été creusés au Ier siècle.

Tunnel de la Perrotte, long de 74 mètres

Tunnel des Cantarelles, long de 60 mètres

Vue sur la Vallée du Gardon

Les carrières romaines de Sernhac, sur le site des tunnels romains, dont les pierres ont été utilisées pour la construction de la Maison Carrée de Nîmes.

Le vallon des Escaunes et Cantarelles et ses terrasses en pierre sèche restaurées, un site magnifique au pied de la Colline Ferraud (168 m d’alt).

Sur la Colline Ferraud (168 m d’alt)

L’église Saint Sauveur de Sernhac, dont ses origines remontent à une bataille de Charles Martel sur les Sarrazins. Pour commémorer la victoire, il ordonna la construction de chapelles aux 4 coins du champs de bataille.

Dans les petites rues de Sernhac

Sernhac (Gard – Occitanie)

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Aqueduc romain de Barbegal

L’Aqueduc romain de Barbegal, partiellement classé Monument Historique en 1937, et inscrit au Patrimoine Mondial de l’Unesco en 1981.

« Le site de Barbegal abrite les vestiges de deux ponts aqueducs romains et d’une meunerie antique. Installé dans la campagne d’Arles, cet ensemble alimentait la cité romaine en eau potable et sans doute aussi en farine.

Ce formidable réseau hydraulique fut complété au siècle suivant par une meunerie, permettant ainsi de nourrir la population. Aujourd’hui, il ne reste que des vestiges de l’aqueduc, ainsi que les fondations de la meunerie. La meunerie a fonctionné jusqu’au IIIème siècle, produisant 4,5 tonnes de farine quotidiennement. Il n’en reste aujourd’hui que des vestiges. »

Fontvieille (Bouches-du-Rhône – Provence-Alpes-Côte d’Azur)

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Aqueduc romain de Barbegal

L’Aqueduc romain de Barbegal, partiellement classé Monument Historique en 1937, et inscrit au Patrimoine Mondial de l’Unesco en 1981.

Fontvieille (Bouches-du-Rhône – Provence-Alpes-Côte d’Azur)

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Vallée de l’Eure – Uzès

Les bords de l’Alzon, dans la Vallée de l’Eure, au pied de la cité médiévale d’Uzès

La Source de l’Eure, captée par les romains pour alimenter en eau Nemausus, Nîmes, via un aqueduc dont le plus bel ouvrage est le Pont du Gard

Vestige de l’aqueduc romain

« L’aqueduc achemine l’eau sur environ 50 kilomètres, depuis les sources d’Eure et d’Airan près d’Uzès, ville située à une vingtaine de kilomètres de Nîmes, jusqu’au castellum de Nîmes. L’essentiel du parcours de l’aqueduc est souterrain : le conduit transportant l’eau (specus) est placé dans une tranchée où des regards, utilisés pour la maintenance, sont régulièrement disposés. Afin de garder la régularité du dénivelé (12 m), l’aqueduc émerge de terre et s’élève soit sur un mur soit sur des arches, comme le pont à trois arches de Saint-Maximin ou le célèbre Pont du Gard. Cette œuvre, haute de 49 m et longue de 275 m à son plus haut niveau, est un élément majeur de l’aqueduc de Nîmes. Ce pont-aqueduc, le plus haut du monde romain, qui franchit le Gardon, est constitué de trois niveaux d’arches (6 arches au premier niveau, 11 au deuxième et 47 au troisième). Sur les deux premiers niveaux, le pont est constitué d’arches superposées réalisées dans le même schéma architectural. Ce pont-aqueduc est une œuvre exceptionnelle car la majorité des ponts-aqueducs construits dans le monde romain possède seulement un ou deux niveaux d’arches lorsque son trajet devient aérien, comme le pont-aqueduc de Fréjus, en France, ou bien celui de Carthage en Tunisie.

À son arrivée en ville, l’eau est stockée dans le Castellum divisorium de Nîmes. Le castellum de Nîmes se présente sous la forme d’un bassin circulaire de 5,50 m de diamètre où arrive une grande arrivée d’eau rectangulaire, autrefois équipée d’une vanne métallique, et d’où partent dix canaux de distribution. »

Uzès (Gard – Occitanie)

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Larouillies

Larouillies, sur le tracé de la Chaussée Brunehaut Bavay-Reims, plus de 2 millénaires d’histoire, l’ancêtre de la RN2. A partir de Larouilles, la Route Nationale 2 emprunte l’antique tracé jusqu’à Vervins. Le nom de Larouillies vient de « la roulie », la route qu’empruntaient les rouliers.

L’église de la Nativité-de-Notre-Dame, ancienne chapelle agrandie vers 1700 par l’Abbaye de Liessies avec l’ajout du choeur et du clocher.

Ce fut à Larouillies que pour la dernière fois, une déclaration de guerre se fit par le ministère d’un héraut : le 21 mai 1635, au début de la Guerre de Trente Ans, le héraut d’armes Gratiolet vint au nom du roi de France Louis XIII, afficher la déclaration de guerre sur un poteau vis-à-vis de l’église du village.

Puits circulaire dans le centre du village, au bord de la Chaussée Brunehaut.

Larouillies (Nord – Hauts-de-France)

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Pont Julien – Bonnieux

Le Pont Julien de Bonnieux, pont romain datant de l’an 3 av JC, au dessus du Cavalon. Il est situé sur la Via Domitia, voie romaine qui reliait Narbonne (Colonia Narbo Martius) à Turin (Augusta Taurinorum). Il est classé MH.

Bonnieux (Vaucluse – PACA)

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