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    Photographe amateur originaire de l'Avesnois, le jardin du Nord, actuellement dans le sud de la France, entre Cévennes et Provence.

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Vézelay – Yonne

Posté par Melvin le 26 janvier 2025

Après une visite en 2021 http://tchiotbiloute59.unblog.fr/2021/09/15/vezelay-yonne/, j’ai voulu revoir la Colline Eternelle, Vézelay, un des plus beaux villages de France, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, haut lieu de pèlerinage et un point de départ vers Compostelle.

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Le tympan du Jugement dernier, exécuté en 1856 par le sculpteur Michel-Pascal, sous la direction de l’architecte Viollet-le-Duc.

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La basilique Sainte-Marie-Madeleine de Vézelay, construite entre 1120 et 1190 et rénovée par Viollet-le-Duc à partir de 1840. Elle est classée MH et au patrimoine mondiale de l’humanité.

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Le portail central, édifié entre 1120 et 1140.

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« Le tympan du portail central, ou grand tympan du narthex, est un des plus grands chefs-d’œuvre de l’art sculptural roman en France. L’ensemble du tympan, linteau et voussures compris, se compose de cinquante-huit blocs de tailles très variables. Il mesure un peu plus de neuf mètres de large sur cinq mètres vingt-cinq de haut.

Il représente la création historique de l’Église, avec le Christ bénissant les apôtres et leur assignant la mission de convertir les nations. Cette thématique est tout à fait unique dans l’art roman. Toute la scène est organisée autour du Christ en gloire. Ce dernier domine les autres personnages par sa taille. Celle-ci est en effet proportionnelle à l’importance des personnages représentés.

Le visage impassible du Christ contraste avec sa position en forme d’éclair et le mouvement tourbillonnant de ses vêtements. Des rayons partent latéralement de ses mains, en direction des apôtres. Cela symbolise la transmission de l’esprit du Christ ainsi que l’attribution d’une mission à ces derniers : « Allez et enseignez toutes les Nations ». »

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Vézelay, décor du film « la Grande Vadrouille »

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Vézelay (Yonne – Bourgogne-Franche-Comté)

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Publié dans - Bourgogne, - Châteaux - fortifications, - Religieux, - Unesco | Pas de Commentaire »

Nimes – Gard

Posté par Melvin le 22 juillet 2024

Les Arènes de Nîmes, amphithéâtre romain construit vers la fin du Ier siècle.
« Construit à la fin du ier siècle apr. J.-C., l’amphithéâtre mesure 133 mètres de long et 101 mètres de large. La façade, haute de 21 mètres, est composée de deux niveaux de 60 arcades chacun. À l’intérieur, près de 25 000 spectateurs pouvaient assister aux combats d’animaux et de gladiateurs. » Source : Wikipédia

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La fontaine Pradier, sur l’esplanade Charles-de-Gaulle
« La fontaine en marbre inaugurée en 1851 au centre de l’esplanade, la fontaine Pradier, est l’œuvre du sculpteur James Pradier et de l’architecte Charles Questel, auteur de l’église Saint-Paul. La figure féminine monumentale représente la ville de Nîmes (une des toutes premières représentations allégoriques de ce type en France) couronnée des arènes et des colonnades de la Maison Carrée, celles du palais de justice et de l’ancien théâtre. Elle est entourée de personnages symbolisant les cours d’eau importants pour la ville ; le Gardon, le Rhône, la fontaine d’Eure (source d’Uzès, point de départ de l’ancien aqueduc romain) et la fontaine de Nîmes. » Source : Wikipédia

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La Maison Carrée, temple romain construit en 3 et 5 apr. J.-C., qui dominait le forum de la ville antique.
« Dédiée, dans un second temps, à Caius et Lucius César, petits-fils et fils adoptifs de l’empereur Auguste, la Maison Carrée est dans un état de conservation tout à fait exceptionnel qui en fait le temple le plus « intact » du monde romain. La restauration de ses façades, initiée en 2006, a nécessité quatre années de travaux. La Maison Carrée est entourée d’un péristyle élevé sur un podium et marquée dans son architecture classique par une influence grecque (ordre corinthien). Le forum romain auquel elle appartenait autrefois était un important ensemble immobilier. » Source : Wikipédia

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Le square Antonin
« La statue monumentale dédiée à Antonin, érigée au centre du square en 1874, est l’œuvre du sculpteur Auguste Bosc. La grille extérieure en fer forgé est quant à elle l’œuvre de Marius Nicolas, serrurier nîmois. » Source : Wikipédia

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Les Quais de la Fontaine

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Les Jardins de la Fontaine
« Les jardins de la Fontaine, aménagés au milieu du xviiie siècle, constituent le principal jardin public de la ville et l’un des plus importants jardins d’Europe. Respectant en partie le plan du sanctuaire antique autour de la source fondatrice de la ville, Jacques Philippe Mareschal et Gabriel Dardailhon ont dessiné, sous l’influence de Le Nôtre, un jardin à la française où sont actuellement rassemblées de nombreuses espèces végétales méditerranéennes. Entre les xviiie et xixe siècles un petit théâtre romain, a été enfoui plusieurs fois sous les pelouses. Au xixe siècle, des influences anglaises et italiennes se sont manifestées dans l’aménagement du jardin, contribuant à l’esprit « romantique » du lieu. » Source : Wikipédia

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Le temple de Diane, dans les Jardins de la Fontaine, datant du IIe siècle apr. J.-C.
« Il se dresse dans la partie basse des jardins, à proximité de la source. Il était encore entier au milieu du xvie siècle, transformé en église. Les frères en furent chassés au moment des guerres de Religion et le bâtiment servit alors d’entrepôt à bois et foin. Mais, rapidement, un différend apparaît entre deux personnages sur l’attribution de la propriété du lieu qui est alors incendié. Sa voûte s’effondre, le mur sud est démoli, la façade principale est dépouillée de son ordonnancement de colonnes et de ses frontons étagés. Le temple de Diane constitue néanmoins le seul monument conservé en élévation de l’ensemble du sanctuaire romain dédié au culte impérial et aux loisirs autour de la source sacrée. Sa fonction d’origine reste incertaine, même si l’on penche vers un édifice à vocation culturelle, de type bibliothèque. D’une manière générale, ce monument a été assez peu étudié. » Source : Wikipédia

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La tour Magne domine Nîmes du haut de ses 32 mètres. Elle est le plus important vestige de l’enceinte romaine qui entourait Nîmes jadis. Le rempart n’existe plus, mais des ruines sont régulièrement découvertes lors des fouilles menées par les archéologues. Véritable tour de guet, la tour Magne permettait de repérer les envahisseurs au loin. Aujourd’hui, elle offre depuis son sommet une vue imprenable sur la capitale gardoise. Source : Wikipédia

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La porte d’Auguste (16-15 av. J.-C.), de l’antique enceinte augustéenne.
« Dite également « porte d’Arles », la porte d’Auguste est une des principales portes de l’époque romaine de la ville. Elle s’ouvrait sur la voie Domitienne et faisait partie des remparts. D’après certains érudits, une borne milliaire y fixait le point de départ de la voie Domitienne de Nîmes à Beaucaire. Elle fut redécouverte au moment de la démolition du château royal durant la période révolutionnaire et échappa de peu aux coups de pioches. Elle était flanquée à l’origine de deux puissantes tours. On notera, à cet effet, que la ville antique était entourée d’une muraille autant défensive que symbolique de la puissance de la cité. S’étendant sur plus de 6 km, ponctuée de nombreuses tours, sa partie la mieux conservée et la plus impressionnante s’étend du bas de la route de Sauve au sommet du Montaury. Par endroits, elle a conservé sa hauteur initiale ce qui en fait un monument exceptionnel ; le tronçon de rempart antique le mieux conservé en France selon le ministère de la Culture. » Source : Wikipédia

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Nîmes (Gard – Occitanie)

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Aqueduc romain de Barbegal

Posté par Melvin le 6 avril 2024

L’Aqueduc romain de Barbegal, partiellement classé Monument Historique en 1937, et inscrit au Patrimoine Mondial de l’Unesco en 1981.

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« Le site de Barbegal abrite les vestiges de deux ponts aqueducs romains et d’une meunerie antique. Installé dans la campagne d’Arles, cet ensemble alimentait la cité romaine en eau potable et sans doute aussi en farine.
Ce formidable réseau hydraulique fut complété au siècle suivant par une meunerie, permettant ainsi de nourrir la population. Aujourd’hui, il ne reste que des vestiges de l’aqueduc, ainsi que les fondations de la meunerie.
La meunerie a fonctionné jusqu’au IIIème siècle, produisant 4,5 tonnes de farine quotidiennement. Il n’en reste aujourd’hui que des vestiges. »

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Fontvieille (Bouches-du-Rhône – Provence-Alpes-Côte d’Azur)

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Douai – Nord

Posté par Melvin le 9 janvier 2024

Balade dans Douai, ancienne ville bastionnée au bord de la Scarpe, sous-préfecture du département du Nord, possède un beffroi inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO.

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L’Hôtel de Ville et le Beffroi de Douai, construit au XIVème siècle et inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Il servait de tour de guet. Il est de style gothique. Son carillon rythme la vie de la ville depuis 1391 ! Le Beffroi se visite tous les jours à 15h et 16h30. Vous aurez la possibilité de tester le carillon, entendu dans Bienvenue chez les Ch’tis ! Plus d’infos : https://www.douaisis-tourisme.fr/…/le-beffroi-de-douai…/

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« Du haut de ses 54 mètres, ce beffroi domine la ville et la vallée environnante. Construit dès 1380, le beffroi de Douai est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO en 2005, car, comme l’affirment de nombreux Douaisiens, « le beffroi de Douai est le plus beau de tous ! ». Sa sublime flèche, composée du grand lion des Flandres et de 54 soleils dorés, constitue un véritable joyau architectural. » Source : douaisis-tourisme.fr

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Visite du beffroi

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La Collégiale Saint-Pierre de Douai (1513 – 1750, la plus longue au nord de Paris avec 112 mètres, classée MH.

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« Une première église existe avant le Xe siècle. Elle est érigée en collégiale et est dotée d’un chapitre de Chanoines en 1012 par le Comte de Flandre. Le vieux clocher menaçant ruines doit être abattu et le clocher actuel commencé en 1513 n’est achevé qu’en 1686. Les notables de la paroisse, notamment les magistrats du Parlement de Flandres décident, en 1734, de la reconstruire. L’église est ouverte au culte le 26 juillet 1750. A l’intérieur, sont exposés de nombreux tableaux de l’Ecole Française du XVIIIe siècle. Le magnifique buffet d’orgues provient de l’abbaye d’Anchin, il est l’œuvre du sculpteur Antoine Gilis et renferme un orgue Cavaillé-Coll de 73 jeux. » Source : douaisis-tourisme.fr

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Place d’Armes

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Porte de Valenciennes

« Appelée autrefois porte Vacqueresse (là où l’on fait passer les vaches), elle est reconstruite en grès en 1453 et dénommée alors Notre-Dame. A l’origine, elle ne possède qu’un passage central. En 1880, alors que les remparts existent encore, deux ouvertures latérales sont percées pour permettre le passage de véhicules. C’est par cette porte que Louis XIV fait son entrée à Douai en 1667. » Source : douaisis-tourisme.fr

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Les quais de la Scarpe

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L’ancien Parlement Flamand.

« L’ancien Parlement de Flandre créé en 1668 en tant que Conseil souverain et érigé en Parlement en 1686 à Tournai est transféré à Douai en 1714. Il s’installe dans le refuge de l’abbaye de Marchiennes. Ce dernier reconstruit au XVIe siècle comprend de grands greniers au-dessus d’un quai couvert donnant sur la rivière et une façade percée d’arcades. C’est dans cette aile que la Grand’ chambre est aménagée dès 1762. Celle-ci est ornée de peintures allégoriques de Nicolas Brenet représentant la Justice, la Religion, la Prudence, la Force, la Science et la Vérité. Au-dessus de la cheminée, trône un portrait de Louis XIV du même artiste d’après l’œuvre de Rigaud, portraitiste officiel du roi. Aujourd’hui, le bâtiment accueille le Tribunal de Grande Instance et la Cour d’appel du Nord-Pas de Calais. » Source : douaisis-tourisme.fr

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Le Musée de la Chartreuse de Douai, rassemblant dans ses murs plus de 10 000 œuvres réunies à partir de la Révolution grâce à des dons et des achats successifs. Plus d’infos : https://www.museedelachartreuse.fr/

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« En arrivant au Musée de la Chartreuse de Douai, vous serez tout d’abord saisis par la beauté des façades et de l’aile dominée par la haute tour carrée, édifiée par la famille de Montmorency. De style Renaissance flamande, elles sont un subtil mélange de pierres et de briques. Vous pourrez aussi admirer les fenêtres à meneaux surmontées de frontons. Un petit et un grand cloître, un réfectoire, une salle capitulaire et une chapelle de style classique — achevée en 1722 — ont également vu le jour avec l’arrivée de l’ordre des Chartreux. Endommagé par les bombardements du 11 août 1944, cet incroyable édifice est racheté en 1951 par la ville de Douai, qui y installe les collections de l’ancien musée, intégralement détruit…

Aujourd’hui, le Musée de la Chartreuse accueille les œuvres d’artistes de renom. Peintures de Van Scorel, Bellegambe, Rubens, Véronèse, Ruisdael, Renoir et Pissarro… De quoi concurrencer les plus grands musées ! Et c’est sans parler de la scénographie enchanteresse de la chapelle des Chartreux et ses sculptures de Carpeaux, Rodin et Bra. Les collections comportent également des photos de la Photothèque Augustin Boutique-Grard et un plan relief de la ville de Douai au XVIIIe siècle, témoin de la situation de la cité fortifiée en 1709… » Source : douaisis-tourisme.fr

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Dans les rues de Douai

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Douai (Nord – Hauts-de-France)

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Terril Sabatier – Raismes

Posté par Melvin le 6 janvier 2024

La Forêt Domaniale de Raismes-Saint-Amand-Wallers (4 600 ha), dans le Parc Naturel Régional Scarpe-Escaut.

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Au pied du Terril Sabatier, l’étang des Trois Mortiers, formé par les affaissements miniers…

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Vestige de la Fosse Sabatier, le chevalement du puits n°2, au pied du Terril Sabatier. La fosse Sabatier de la Compagnie des mines d’Anzin a commencé à extraire en 1913 jusqu’en 1980.

Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis le 18 mars 2010 et fait partie des 353 éléments répartis sur 109 sites qui ont été classés le 30 juin 2012 au patrimoine mondial de l’UNESCO.

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La Fosse Sabatier comporte 3 terrils faisant parties des 353 éléments répartis sur 109 sites qui ont été classés le 30 juin 2012 au patrimoine mondial de l’Unesco. Ils constituent une partie du site n°8.

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Le Terril n°175, Sabatier Nord est un terril conique haut de 80 mètres entièrement boisé. Il offre un panorama à 360° sur le Valenciennois jusqu’à la Belgique.

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Le Mont Saint Aubert et le Tournaisis (Belgique)

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Le Terril du lavoir Rousseau et la ville de Condé-sur-l’Escaut avec son beffroi

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La Chaine des terrils… vue sur les terrils jumeaux de Loos-en-Gohelle, les plus hauts d’Europe.

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Saint-Amand-les-Eaux et la Forêt Domaniale de Raismes-Saint-Amand-Wallers

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Fossile datant du carbonifère (– 359 à – 299 millions d’années)

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Le Terril n°175A, Sabatier Nord plat

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Raismes (Nord – Hauts-de-France)

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Cambrai – Nord

Posté par Melvin le 4 juillet 2023

La ville de Cambrai, sous-préfecture du Nord, est labelisée Ville d’Art et d’Histoire. La ville possède un riche passé, de capitale des Nerviens à la fin de l’Empire Romain puis siège d’un vaste évêché, la ville possède encore un riche patrimoine malgré les destructions des conflits mondiaux. Le beffroi est inscrit au Patrimoine Mondial de l’UNESCO.

La Grand’Place

L’hôtel de ville de Cambrai, reconstruit en style néoclassique avant la Révolution par les architectes Denis Antoine et Nicolas-Henri Jardin.

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« L’hôtel de ville, entièrement restauré en 1932, s’ouvre sur la Grand’Place par une majestueuse façade de style grec, surmontée d’un campanile où deux sonneurs de bronze, géants et de type maure, frappent les heures sur une grosse cloche au-dessus de la grande horloge : ce sont Martin et Martine, les protecteurs de la cité. » Source : Wikipédia

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Martin et Martine

« Lorsqu’on décide en 1512 qu’un système automatique sonnera l’heure sur la cloche de l’hôtel de ville, deux statues de bronze sont coulées sur place. Le sculpteur, Pierre Van Pulaere, en fait des Maures, peut être à cause du goût du temps pour les choses de l’orient. On a fait des chansons et de poétiques légendes sur ces personnages en leur prêtant une conduite héroïque. Les Cambrésiens y sont fort attachés. Martin et Martine brandissent un marteau à long manche pour rythmer les heures, au faîte de l’édifice.

Plusieurs fois restaurés (à cause de la rouille, les guerres, les intempéries…) ils continuent de monter une garde vigilante de part et d’autre de la cloche du campanile. Les premiers géants auraient vu le jour vers 1825 à l’époque de la renaissance des cortèges folkloriques. D’autres apparaissent en 1901, leur dimension étant à peu prés celle des jacquemarts.

Martin et Martine se trouvent sur le même char, imitant le geste du sonneur. Détruits durant la Grande Guerre, si dévastatrice pour Cambrai, les géants sont reconstitués en 1923. Ils sont représentés assénant des coups de marteau sur le casque du seigneur de Thun – l’évêque qui rançonnait le Cambrésis vers 1370.

Quatre ans plus tard, de nouveaux géants mauresques sont construits, fixés chacun sur une plate forme tractée. Martin mesure 6,45 mètres et Martine 6,20 mètres.

Leur première sortie a lieu le 15 août 1927. Elle donne lieu à un rassemblement de géants. Martin et Martine traversent la seconde guerre mondiale sans trop de mal. Depuis, ils se font admirés lors des fêtes communales de la mi-août. Chaque géant est coiffé d’un turban à plumet et porte une tunique collante rosâtre à parements dorés.

Les pieds et les jambes sont en staff peint, imitant le fer doré d’une armure. Le sabre pour Martin, les boucles d’oreille et un buste plus généreux pour Martine permettent de les différencier. Ils tiennent chacun un marteau de bois brandi à droite pour Martine et à gauche pour Martin. Aguerris à la température parfois rugueuse du septentrion, Martin et Martine n’hésitent pas à affronter les froidures hivernales quand il s’agit d’une bonne cause.

Leur fils, Cambin, est le héros d’une bande dessinée locale. Il a fait sa première sortie le 17 septembre 1995 en compagnie de ses parents et d’autres géants du département. » Source : tourisme-cambresis.fr

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Façades néo-régionalistes

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Façade art déco de la Chambre de Commerce, à l’arrière de l’hôtel de ville, sur la Place de la République

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« Sur la façade de la Chambre de Commerce, construite après la Première Guerre mondiale par Pierre Leprince-Ringuet et Ernest Herscher de 1927 à 1930, les armes sont surmontées de la couronne ducale, encadrées par les géants Martin et Martine, et augmentées de la Croix de la Légion d’Honneur.

L’aigle est généralement surmontée de la couronne ducale, la ville ayant été érigée en duché en 1510. En 1815 Cambrai reçut de Louis XVIII le droit de porter à nouveau ses antiques armes. En 1919, la Croix de la Légion d’honneur lui fut décernée, et en 1945 la Croix de Guerre. » Source : Wikipédia

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Façade art déco, sur la Place de la République

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Le Beffroi

Le Beffroi de Cambrai, inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO et classé MH. C’était autrefois le clocher de l’église Saint-Martin, construite au XVème siècle, transformé en beffroi en 1550.

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La Cathédrale Notre-Dame

La cathédrale Notre-Dame de Grâce de Cambrai, ancienne église de l’Abbaye du Saint-Sépulcre, datant de la fin du XVIIème siècle. Elle est classée MH.

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« La cathédrale Notre-Dame de Grâce, avenue de la Victoire, achevée en 1703 dans le style classique de l’époque, a remplacé après la Révolution de 1789 l’admirable cathédrale gothique du XIIème siècle dont il ne reste aucune trace sur l’actuelle place Fénelon. L’abside renferme le tombeau monumental de Fénelon, chef-d’œuvre du sculpteur David d’Angers, et les croisillons du transept l’icône de Notre-Dame de Grâce ainsi que neuf grisailles réputées de Geeraerts d’Anvers. Les grandes orgues furent construites par la maison Pierre Schyven d’Ixelles en 1897. Après les épreuves de la guerre de 1914-1918, une importante restauration fut entreprise par le facteur d’orgue Auguste Convers qui porta l’instrument actuel à 49 jeux (3 670 tuyaux). Le bâtiment a été classé à l’inventaire des monuments historiques le 9 août 1906. » Source : Wikipédia

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Tombeau de Fénelon (archevêque de Cambrai)

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Maquette de la Merveille des Pays-Bas, la Cathédrale gothique de Cambrai, détruite pendant la Révolution française. Elle possédait une flèche de 114 mètres de haut.

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La Chapelle des Jésuites, de style baroque, construite au XVIIème siècle sur la place du Saint-Sépulcre, face à la cathédrale.

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La Maison Espagnole, dernière maison à pans de bois et à pignon sur rue de la ville, datant de 1595. Elle accueille aujourd’hui l’office de tourisme.

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Les remparts

La Porte de Paris de Cambrai, porte sud de la ville reconstruite au XIVème siècle, classée MH.

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« Au XVIème siècle, alors que Charles-Quint fit améliorer les fortifications de la ville pour l’adapter aux évolutions de l’artillerie, la partie supérieure de la porte fut rasée et les murailles alentour élargies, de sorte qu’il fallut enterrer le corps de garde supérieur et allonger le passage d’entrée en construisant un tunnel supplémentaire.

En 1892, à la suite du démantèlement, la porte est conservée et restaurée : les ajouts du XVIe siècle sont détruits et la façade côté ville est remise au jour. Des tourelles sont construites en arrière et des créneaux et merlons sont ajoutés sur la partie supérieure pour remplacer la terrasse d’artillerie de brique qui s’y trouvait. » Source : Wikipédia

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La Porte Notre-Dame (ou porte de Valenciennes) de Cambrai, porte est de la ville construite au XVIIème siècle, classée MH.

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« Telle qu’elle nous apparait aujourd’hui, la porte Notre-Dame (ou porte de Valenciennes) est constituée d’un haut passage voûté, d’un étage contenant une salle de gardes et d’une toiture percée de trois lucarnes. La façade est décorée de bossage en pointes de diamant et abrite une vierge à l’enfant au creux d’une niche. Quatre rangées de colonnes s’élancent sur toute la hauteur et s’achèvent par quatre pinacles (deux ont été supprimés). Au niveau des toitures, un fronton est surmonté d’une sculpture représentant un buste de soldat entouré de drapeaux. Un soleil, symbole du pouvoir de Louis XIV, fut sculpté sur ce fronton après la prise de Cambrai par le roi et les troupes françaises en 1677.

Côté ville, il existait une seconde porte moins décorée qui était reliée à la porte côté campagne par un grand tunnel qui passait sous le massif des fortifications. Ce tunnel et la porte côté ville ont été rasés à la fin du XIXe siècle lorsque les murailles de Cambrai furent démantelées.

La façade orientée vers le centre ville est construite en briques et pierres, la partie inférieure de cette façade étant une recréation réalisée après le démantèlement. La salle des gardes à l’étage peut être visitée sur demande auprès de l’Office du Tourisme. » Source : Wikipédia

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La Tour des Arquets de Cambrai, porte d’eau sur l’Escaut datant du XIVème siècle et classée MH.

« La construction de la tour remonte à la fin du XIVe siècle. C’est une porte d’eau, c’est-à-dire qu’avec une tour avancée formant barbacane et la Tour du Caudron, voisine, elle forme un ensemble défensif pour verrouiller l’entrée de l’Escaut dans la ville et contrôler son cours (en créant des inondations défensives). Restes d’une dame qui permettait de mieux empêcher la progression d’un ennemi vers l’ouvrage.
À l’intérieur on remarque une belle salle croisée d’ogives, dotée d’une vaste cheminée en hotte et de ravissantes sculptures des culs-de-lampe. » Source : Wikipédia

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Tour du Caudron de Cambrai, datant de la première moitié du XVème siècle et inscrite MH.

« Cette tour, construite après 1400 est de plan semi-circulaire légèrement outrepassé. Elle s’inscrivait dans l’enceinte de Cambrai dont le tracé datait du 11e siècle et qui avait été modernisée du 14e au 18e siècle, puis démantelée à la fin du 19e siècle. » Source : Base Mérimée

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Les vestiges des remparts de Cambrai au niveau du Château de Selles.

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« Ancien château fort, bâti au XIème siècle, autrefois isolé par les eaux de l’Escaut a conservé ses tours et ses murailles et surtout des gaines enterrées dont les nombreux graffiti témoignent du désespoir des prisonniers enfermés sur ordre du comte-évêque.
Témoin rare de l’architecture militaire du Moyen Âge dans le nord de la France, il abrite le palais de justice depuis 1992. » Source : Wikipédia

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Le parc de la Promenade des Amoureux, le long de l’Escaut

« La « promenade des amoureux » tire son nom de l’ancien « front des amoureux ». Les fortifications qui entouraient l’actuel centre-ville jusqu’à la fin du 19e siècle étaient des lieux de promenade prisés des Cambrésiens. L’ancien front ouest, dit front de Bèvres, au bord de l’Escaut, était notamment privilégié par les couples et avait pris le surnom de “front des amoureux”. »

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La Porte Royale de la Citadelle de Cambrai

« Malgré son démantèlement au XIXe siècle, la citadelle de Charles Quint conserve les galeries de contre-mine aujourd’hui ensevelies ; la porte Royale et son pont-levis, classée à l’inventaire des monuments historiques le 14 avril 1932, flanquée à l’arrière de deux corps de garde et un arsenal du XVIe siècle. Parmi les aménagements postérieurs, un magasin à poudre, des logements pour officiers et une caserne « à l’épreuve des bombes » du XIXe siècle sont également remarquables. » Source : Wikipédia

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Le jardin public

Le jardin public de Cambrai, dessiné par le paysagiste Jean-Pierre Barillet-Deschamps au XIXème siècle, à l’emplacement des remparts de la citadelle.

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« Le jardin public de Cambrai, couvrant près de 20 hectares en centre-ville, est constitué de trois entités : le jardin aux fleurs, le jardin Monstrelet et le jardin des grottes. Son aménagement s’étend sur une cinquantaine d’années, de 1860 à 1910, et témoigne des préoccupations hygiénistes qui se diffusent tandis que les villes se développent et s’industrialisent. L’histoire du jardin s’inscrit également dans une période de grandes transformations urbaines, notamment liées au démantèlement des fortifications cambrésiennes dans les années 1890. Enfin, ce jardin est l’œuvre du plus célèbre architecte paysagiste du XIXème siècle, Jean-Pierre Barillet-Deschamps. » Source : tourisme-cambresis.fr

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Le monument aux morts à l’entrée du jardin public

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L’église Saint-Géry

« L’église Saint-Géry, place François de Fénelon, classée monument historique depuis le 26 novembre 1919, est l’un des monuments les plus anciens de Cambrai. Elle renferme un remarquable jubé en marbre polychrome sculpté par le Cambrésien Gaspard Marsy ainsi qu’une Mise au tombeau de Rubens datant de 1616. Les grandes orgues construites en 1867 par Merklin ont fait l’objet d’une transformation importante en 1978. L’instrument actuel comporte 41 jeux. Cette église est l’objet d’une restauration de la façade et des toitures pour une période de quatre ans (2011-2015). » Wikipédia

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La Maison du bailli de Marcoing et sa tourelle du XVIème siècle.

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Sur la Place Jean Moulin, face au théâtre

« Le théâtre de Cambrai, construit en 1924 par l’architecte Pierre Leprince-Ringuet sur l’emplacement d’une chapelle du XVIe siècle détruite pendant la Première Guerre mondiale, était abandonné depuis 25 ans lorsque sa réhabilitation fut entreprise en 1999. Le théâtre rénové fut inauguré en 2003. C’est un théâtre à l’italienne de 700 places qui accueille des spectacles divers, notamment ceux de l’association « Scènes mitoyennes » et du festival de musique classique Juventus. » Source : Wikipédia

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La jolie Rue Vaucelette

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« La rue Vaucelette a gardé le charme désuet des rues d’autrefois. Son nom lui vient du refuge de l’abbaye de Vaucelles qui s’y trouvait depuis le XIIe siècle. Sa situation proche de l’ancienne cathédrale, de la collégiale Sainte-Croix et de l’hôpital Saint-Julien lui a conféré un caractère clérical marqué, puisque toutes les maisons de cette rue appartenaient, avant la Révolution, à des établissements religieux. En partant de la place Jean Moulin sur laquelle se dressait avant la Révolution la collégiale Sainte-Croix, les trois premières habitations, sur la gauche, occupent l’emplacement d’un terrain connu jusqu’au XVIIIe siècle sous le nom de « cloître Sainte-Croix ». C’est là qu’en 1720, les chanoines de cette collégiale furent autorisés à faire édifier « les trois maisons du cloître ». Ces trois immeubles étaient à l’origine semblables. D’un seul étage, comme la plupart des maisons des chapitre, leur construction obéit à des règles d’urbanisme plus sévères depuis que l’influence française se fait sentir. Le soucis de continuité entre les maisons est ici marqué par la hauteur uniforme des soubassements de grès, l’alignement des corniches, du cordon central et du bandeau de briques marquant la dimension horizontale de ce rang. Les chambranles en pierre des portes et fenêtres ne sont pas encore droits suivant une tendance qui ne cesse de s’affirmer au cours du XVIIIe siècle. Pour celle-ci l’assemblage a gardé la forme de « jambes harpées » pratiquée au siècle précédent. Les façades n’ont d’autre décor que l’opposition de couleur entre la brique et la pierre, sur lesquelles des ancrages en forme de porte-manteau ajoutent une discrète animation. » Source : tourisme-cambresis.fr

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Cambrai (Nord – Hauts-de-France)

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