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    Photographe amateur originaire de l'Avesnois, le jardin du Nord, actuellement dans le sud de la France, entre Cévennes et Provence.

    Depuis 2007, j'expose sur ce blog mes deux passions principales, le jardinage et la photographie. Et je partage mon regard sur le Nord, loin des clichés...

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Jeumont

  • Entité paysagère : Val de Sambre
  • Population : 9 995 hab.
  • Altitude : min : 122 m – max : 201 m
  • A voir : Eglise Saint-Martin, château, Site du Watissart, Sambre, architecture art-déco, patrimoine industriel, chapelles, gare numérique,… 
  • Ville fleurie **

« Depuis le milieu du XIXe siècle, la commune de Jeumont connaît un développement urbanistique lié au développement industriel. L’industrie a des origines anciennes ; des travaux historiques mentionnent l’existence d’une fonderie et d’une platinerie vers 1780, détruites pendant la Révolution, et des carrières de marbre et grès, exploitées à la fin du 18e siècle.
Le grand développement économique a été rendu possible par l’installation de la ligne de chemin de fer Paris-Erquelinnes (Belgique) en 1855. La gare est agrandie vers 1881 par l’architecte Danis. Son fils, Adolphe, a eu une carrière importante dans tout le bassin de la Sambre, en particulier pendant l’entre-deux-guerres. Il est mentionné en tant qu’architecte de la ville entre 1920 et 1939.
Une manufacture de verre a été mise en exploitation par Hector Despret en 1857, puis déplacée à la fin du siècle à Boussois. La ville se développe pour loger les ouvriers de l’industrie électrique, des Aciéries (Sambre et Meuse, fondées en 1899, détruites) implantées le long de la Sambre. L’infirmerie-crèche sera construite vers 1930 sur l’emplacement de l’usine de ciment Portland. Au lendemain de la guerre, un plan d’aménagement de la ville est conçu par l’ingénieur-géomètre Marché en 1929 associant le développement du réseau viaire et un souci hygiéniste. Ce projet met l’accent sur la création de rues et de lotissements, d’un réseau d’égouts, d’un nouveau cimetière, d’un réseau viaire, la construction de maisons, d’une nouvelle mairie et d’un terrain de sport. D’autres projets, de type hygiéniste, ont été conçus et réalisés par Adolphe Danis. Dans cet esprit il dessine en 1925 des urinoirs publics avec marquise et lambrequin en fonte, qu’il améliore (il passe au carrelage céramique et carreaux vernissés) et construit en 1935 (actuellement détruit). En 1929, il effectue des améliorations et un agrandissement de l’abattoir conçu par l’architecte Auguste Depasse en 1901. Il est également l’architecte d’une infirmerie-crèche adjointe d’un dispensaire et d’un établissement de bains, piscine et douches, conçus en 1926. Des maisons en série et quelques maisons d’architectes sont construites à cette période.
La Compagnie de Chemin de Fer du Nord reconstruit la gare endommagée pendant la Première Guerre mondiale ainsi qu’une cité de cheminots (1919-25) constituée de 50 logements en dur, située sur la commune voisine de Marpent. La FACEJ (Forges et Ateliers de Constructions Electriques de Jeumont) construit des logements pour ingénieurs en 1932, puis un immeuble pour célibataires dans les années de l’après-guerre. La salle des fêtes est construite en 1950 par Adolphe Danis. De nombreux projets d’écoles et d’établissements sportifs sont conçus entre 1950 et 1970 par Adolphe Danis et son successeur André Gaillard. Les archives communales conservent une notice descriptive d’un bâtiment métallique isothermique conçu en 1959 par A. Le Bugle, architecte D.P.L.G., de l’entreprise de préfabrication Y. Plisson à Paris 13e, ainsi que tous les modèles de piscines préfabriquées (1000 piscines). Cela témoigne de l’intérêt porté à ces procédés par la commune, qui construit une salle polyvalente de type Mille Club en 1973. Les constructions soudées et métalliques perdurent : la société Duplanty invente le pavillon Monica (en glazal, à base d’amiante ave c émail mat de couleur) et la maison Coquille (Abraham et Rol créateurs, préfabriqué en bois et butyle armé) fabriquée à 50 exemplaires. D’autres préfabriqués, dits Shrött (en tôle imitant le rondin) , sont conservés sur le territoire communal. » Base Mérimée

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MONUMENTS HISTORIQUES

Ruines de l’ancien château fort de Jeumont, datant des XIIème et XVIème siècles. Il fut détruit en 1794, lors des affrontements entre les troupes françaises et autrichiennes et démantelé par les troupes allemandes pendant la 1ère GM. Il est inscrit aux Monuments Historiques depuis 1997.

« Le XIIe siècle l’aurait vu naître, mais son appartenance aux seigneurs de Barbençon et de Jeumont n’est attestée qu’au XIIIe siècle. Vers le milieu du XVe siècle ces seigneurs quittèrent le nom et les armes de Jeumont pour celui et celles de Verchin. Le château resta leur propriété jusqu’au mariage de Yolande de Verchin Valincourt avec Hugues de Melun, prince d’Epinoy. De ce mariage naquit une fille, Marie, qui prit pour époux Lamotal, prince de Ligne. En 1829, un visiteur ne découvrait plus qu’une tour, « la chambre qu’on y trouve ressemble à une cloche, et deux beaux souterrains dans lesquels on a fabriqué du salpêtre ». Un fermier occupait les abords de la ruine et les occupait encore lorsque, vers 1860, la famille de Ligne songeait à rétablir l’édifice comme ils le firent pour le château d’Antoing. Les deux vastes souterrains existent toujours et divers éléments de murs ruinés. De la tour elle-même subsiste, au-dessus du rez-dechaussée, un pan de mur dont les larmiers indiquent deux niveaux. Le parement du second étage présente un bel appareil à assises régulières en pierre de taille.

Le rez-de-chaussée abrite une belle salle, on y accède par une porte avec linteau monolithe en bâtière. La salle est coiffée d’une coupole hémisphérique assisée a 4,80 m de diamètre. Les murs sont percés de quatre archères, les embrasures intérieures ont 2,80 mètres de longueur. Eléments protégés MH : les vestiges du château et leurs sol et sous-sol : inscription par arrêté du 1er décembre 1997. » Source : chateau-fort-manoir-chateau.eu

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PATRIMOINE

Lac du Watissart et sa falaise de schiste. C’est une ancienne carrière de quartzite et de marbre, aujourd’hui un espace naturel et de loisirs.

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Dans les gorges de Watissart, sur le ruisseau de Watissart qui alimente le lac… Des gorges ? Pas officiellement mais c’est l’impression que ça donne avec la mini-vallée très encaissée et la roche présente ;)

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PATRIMOINE FESTIF

Géant Félix, le douanier de Jeumont

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Cortège de la Parade sans Frontière

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Image de prévisualisation YouTube

Exposition « Gonflables », dans le cadre de Mons 2015, capitale européenne de la culture et du Festival des Folies. Une vingtaine d’oeuvres s d’artistes coréen, belge, américain, anglais,…

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